Matinée contrariée [libre] [Terminer]

" Désoler ma reine, je n'avais pas pensée que vous étiez présente ici. "

Justine leva vivement le visage en entendant cette voix. Le chef des chevalier était juste devant l'entrée agenouillé avec respect. La reine lui fit signe de se relever de sa main blanche. Elle n'était pas de ceux qui attache trop d'importance à l'étiquette.

Elle préférait des sujets qui osait l'initiative que ce qui comme certains du conseil, ce cachait derriére leur rang. Pour ça elle appréciait Arbagon qui avait toujours été franc. La reine avait conscience de l'effet que cet homme produisait sur son entourage. Il était imposant plein d'assurance. De tres bonnes qualités pour la tâche qui lui était confier...
Justine se leva doucement en répondant de son ton habitulement neutre.

-"Ne tinquiétes pas de cela. Tu es toujours la bienvenu ici."

Elle avançait toujours vers lui, en profitant du soleil dans son dos. Cela faisait du bien de voir un visage, la sortir de ses sombres méditations. Elle voyait bien que lui aussi était perturbés par les événements. Mais comme souvent il devança sa pensé.

" Tout va bien votre majesté? "

La reine connaissait le don de cet homme. Comme pour tous ce qui la servait. Mais elle, s'étonnait toujours de cette vivacité avec la quelle il la démasquait. Justine avait pourtant apprit à ne rien laisser paraitre... Au moins avec lui il était inutil de cacher ses angoisses, ça avait quelque chose de rassurant. Elle ne se livra pas pour autant à une trop grande démonstration de son état. Sa place lui indiquait une conduite qu'elle devait tenir. Justine s'arréta juste en face de son interlocuteur. Et aprés un court silence elle répondit.

-"Je penses que tu au autant conscience que moi, que rien ne va derniérement... comment réagisse nos hommes ?"

Une question qui lui trotait depuis un moment dans la tête. La reine s'intéressait toujours sur la pensé de ses sujets. Elle travaillait pour eux. Elle avait une totale confiance envers le jugement du chevalier. Il était homme franc et efficace un allier de poid dans ses temps de troubles...

- Je suis conscient que j'aurais du avoir votre autorisation, mais vous me connaissez de toutes façons. Je suis aller dans les bois de Dorad, rencontre une dénommée Rosale, celle qui dirige les chevaliers de la forêt. Je crois qu'eux aussi son prêt, mais ils vivent dans les mêmes craintes que nous. Elle sera aussi une bonne alliée sur le champ de bataille.

Justine écouta cette révélation avec intéret. Ellle se demandait si il allait aborser le sujet... Il y a deux jours que David son bras droit l'avait informé de cette rencontre. La dirigeante n'avait pas souhaiter intervenir, car comme le disais si justemant le chevalier, elle le connaissait. La reine avait une confiance quasi totale envers cet homme. Et elle partageait son goût pour l'intiative. Il le savait elle aimait que les gens de Phallam est de l'indépendance, cela valait aussi pour lui.

Justine, se tourna entiéremant vers la salle en silence. Elle observa un instant son interlocuteur. Puis elle alla devant sa place. Sur la table dans les feuilles éparpillées elle retrouva la note qui l'intéssait. Elle s'assit sur le fauteil et la parcouru rapidemant. Elle releva ses yeux verts, vers lui. Un sourire rassurant se dessina sur son visage. Elle répondit enfin d'une voix calme, ou se trahissait une certaine joie.

-Tu as bien fait Arbagon rassure toi... le conseil aurait mit des jours à organiser cette rencontre en "bonne et dut forme." Saches que j'approuve personellement cet acte. Rosale de Dorad , est connue comme une jeune femme talentueuse, ton jugemant semble le confirmer."

La reine attrapa vivemant un nouveau papier qu'elle parcouru furtivemant des yeux. Elle le lacha lasse en soupirant discrétemant. Pour la troisiéme fois elle recevait des informations contradictoires... Tous ces protocoles idiots ne faisaient que compliquer les relations. Elle regarda son interlocuteur avec un sourire triste. Une pointe d'ironie ressortie dans le ton de sa voix quand elle continua.

-"On dirait que la paprasse nous aura envahie avant l'ennemi. Je ne sais pas quand la rencontre entre dirigeant pourra avoir lieu. Ce qui est sure c'est que nous devons échanger nos informations et réfléchir à une deffense commune. C'est le monde qui est en danger pas seulemant les royaumes..."