Ce change les idées

Il ouvrit la porte, regardant l'intérieur de l'auberge. Il y avait un nombre moyen de personne. Il entra et ne se préoccupa pas de la réaction générale. Avant, on l'avait en bonne estime, car il était juste et droit, réglant toujours les problèmes du mieux qu'il pouvait. Mais c'est temps si, on le craignait un peu plus, car il avait tendance à se fâcher facilement, constamment agressif, renfermer dans ses pensées encore plus que d'habitude et l'impression plus sombre et noir qu'il dégageait.

Il se dirigea vers le fond du comptoir. Quand l'aubergiste lui demanda ce qu'il voulait, il lui dit n'importe quoi. En gros, pas trop fort, mais assez pour le laisser s'évader de ces problèmes. L'aubergiste repartit chercher la commande et un chevalier, un dénommer Enarzik, eu la mauvaise idée de critiquer ouvertement son supérieur, car ils ne s'étaient jamais entendus. Enarzik prônait la supériorité des nobles, du à leur sang, alors que pour Arbagon, le sang ne signifiait rien. Peut-être parce qu'il était un impur? Qui pouvait savoir.

" Le grand chef s'est décider à sortir de chez la guérisseuse, peut-être va-t-il reprendre ses devoirs. Et alors, comment va la petite paysanne. "

Il se releva tranquillement, parcourant lentement la distance qui le séparait d'Enarzik, le rire de celui finissant d'alimenter la colère qu'il avait contre lui. Malheureusement, le chevalier qui se moquait de la paysanne avait oublié que son chef avait été élevé par une d'elle. Il l'agrippa par le collet et le colla brutalement sur le mur.

" La petite paysanne comme tu le dis si bien, vaut beaucoup plus que le sale chevalier que tu es. Si jamais l'idée de proférer de telles insultes envers des personnes plus brillante et importante que toi, pense y beaucoup, car je ne suis plus capable de t'entendre. N'oublie plus cela, car je ne te laisserais plus attaquer leur honneur ainsi que le mien. En insultant ceux que tu traites de paysan, tu insultes ma mère et moi du coup. Et oui, tu avais oublié le petit bâtard que je suis n'est-ce pas? Je te conseille seulement de te taire et de la boucler, du moins, en ma présence. "

Le regard qu'il avait pouvait exprimer toute la haine qu'il ressentait envers Enarzik et il le laissa retomber sur le sol. Il retourna s'asseoir à sa place et prit la boisson que l'aubergiste lui tendit. Celui semblait satisfait de la réaction, car peu appréciait le chevalier qu'il venait de replacer, seulement les adeptes de la lignée du sang. Il prit une fiole de sa main tremblante de colère et versa le contenu dans la boisson. Il but quelques gorgé, avant de sentir l'apaisement des herbes de la guérisseuse faire effet.

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Tsulan quand a lui était déjà dans l'auberge et pour une fois il avait laissé son chef seul en compagnie d'Eleanelle. il n'aimait pas savoir que celui ci passe des journées entière àfin de veiller a ses arrières si quelqu'un était en mesure de protéger la jeune paysanne c'était bien Tsulan. il était ami depuis tant d'année et a chaque fois que Le chef des chevaliers se mettait entre eux, il se sentait envahir d'un sentiment de jalousie. Pourquoi? Bonne question! Eleanelle faisait ce qu'elle voulait de sa vie et meme si l'envie lui prenait de se rapprocher de cet homme, elle en avait le droit. Qui plus est la jeune femme n'avait pas besoin d'avoir constamment derrière elle des hommes protégant son corp et son ame, Tsulan le savait, elle était assez forte que pour se défendre seule.

Bref, Il n'était pas très tard et Tsulan ne sachant trop que faire -la situation a phallam était quelque peu plus détendue- s'était rendu a l'auberge. Pas d'alcool pour lui! il se laissait dire que pour avoir un esprit sain il fallait tout d'abord un corp sain...C'est donc en sirotant un simple verre de jus de fruit fait maison qu'il contemplait les diverses personnes qui s'abreuvait dans ce lieu plutot pitoresque.

Deux chevaliers de l'ordre de Phallam était accoudé au bar, et vu le comportement peu digne et exemplaire qu'ils avaient, ils ne devaient pas boire de jus de fruits. Puis soudain, c'est autour du chef de rentrer dans l'auberge, il n'a pas l'air très bien. Pour dire, il n'aperçoit même pas Tsulan. Le rapport entre les deux hommes était plutot amicale,voila maintenant une paire d'année que Tsulan et son supérieur engendrait mission sur mission, Tsulan avait besoin de lui, tout comme lui avait besoin de Tsulan, il comptait l'un sur l'autre et chacun connaissait les valeurs de l'autre. A vrai dire il était presque pareil. Deux hommes loyaux, vivre pour défendre son royaume, etre proche d'une unique et meme femme qui faisait tourner la tete de plusieurs homme par la beauté et la joie de vivre qu'elle dégageait. Deux homme unis pour une meme cause, deux hommes unis par la promesse de la chevalerie.

Tsulan avait son regard perdu sur son supérieur, mais il posa vite une main sur son fourreau lorsque celui ci empoigna le plus insolant des chevalier. Tsulan avait souvent eu des altercations avec cet homme qui ne supporte pas l'autorité, cette homme indigne du rang qu'on lui a confié, s'il ne tenait qu'a lui Tsulan l'aurait déja égorgé et étripé laissant choir ses Tripes et le regardant mourrir avant de cracher sur son corp esperant que son ame soit damné jusqu'a la fin des temps. Cruel? un peu, disons que Tsulan n'a pas de pitié, pas de pardon. Il peut etre votre meilleur ami si vous etes droit et juste, manquez lui de respect une fois...soyez sur que vous le regretterai amèrement.

Après cet altercation, Tsulan se leva et d'un pas lent il traversa la pièce qui était plongée dans le silence des personne abasourdie par le comportement violent de son chef. Arrivé a la hauteur de sa table, il lui jetta un regard mais il avait la tete baissée sur son verre, sans doute plongé dans ses pensées. Tout les regard était a présent tourné vers le jeune homme et d'un regard froid et provocateur, il dévisagea toute l'assemblée qui tournèrent alors la tete et revaguèrent a leurs occupation. Quand l'ambiance sonore de la pièce fut revenu et que personne ne se préoccupait plus de Tsulan, Celui ci prit alors la parole afin de sortir son supérieur de ses songes.

-Laissez moi en finir avec cet Insolent...un seul mot de votre part et je le réduit à demeurer le restant de sa vie a supplier le ciel de lui rendre ses jambes...

La voix de Tsulan le tira brusquement de ses débats psychologiques. Il aimait bien cet homme, son bras droit, pour plusieurs raisons. Il était discret, silencieux, droit, juste et beaucoup d'autres. Il pouvait s'identifier quelques fois a lui, mais il n'avait pas son ambition, il se contentait du poste qu'il avait et ce qu'on lui demandait. Il s'entendait bien avec lui, car il ne parlait pas beaucoup, mais apprenait vite et faisait preuve une grande intelligence. Il savait pourtant que quelques froids les séparaient, pas énorme toute fois. Il percevait un peu la tension qui entourait le fait qu'il se soit rapproché d'Eleanelle, mais il désirait seulement être son ami, rien d'autre, c'est pourquoi il faisait attention à ce qu'il faisait, car il ne désirait pas de mal entendu.

La question lui apporta un sourire, il regarda Enarzik, dont le teint et les yeux montraient qu'il n'avait pas apprécié la manoeuvre qu'il venait de faire. L'idée de le voir sans jambes lui semblait si agréable, mais cela le dégoûtait à la fois de penser ainsi. Et puis, il y avait beaucoup plus qui lui en empêchait de lui donner la permission.

" Je n'ai aucune envie plus grande que d'accepter, mais je ne peux pas. Même si nous sommes chevaliers, nous sommes enchaîné par les lois, comme chaque homme. Si tu veux vraiment faire ainsi, tu dois l'affronter en duel, sous la juridiction d'un chevalier à titre neutre qui s'assurera que les règles de l'honneur et de la chevalerie sont présentes. De plus, lui faire ce mal, serait provoquer sa famille qui est de sang pur ..."

Il prononça ces deux derniers mots avec une colère et un dégoût évident.

" ... et qui est malheureusement mieux placer pour nous rendre la vie plus difficile à toi et à moi. Le titre qu'il à ne lui fait pas honneur, seulement, il a une certaine utilité dans nos rangs et c'est ce qui le protège, il le sait très bien. De toute façon, tu sais très bien tout ce qui découlerait de ce geste. Mais si jamais tu décidais de te laisser tenter, sache que je serai avec toi. "

Façon de dire qu'il le défendrait advenant un problème avec cet homme pourri. Il regarda à nouveau Tsulan, il était jeune, mais il le savait assez brillant pour comprendre. Il n'avait jamais fait plus confiance à quelqu'un que lui, peu après qu'il eut été placé sous son autorité. Il lui devait beaucoup, car c'est temps si, il avait enlevé une source considérable de pression et de stress.

" Attend que avant de mettre du sang sur ta lame, il serai plus judicieux qu'il soit celui d'un ennemis, plutôt qu'un imbécile qui a eu une vie d'enfant gâter. Même moi, j'aurais du gérer ma colère et ne pas lui laisser libre cours ainsi, un homme qui ne peut se contrôler lui-même, n'est qu'un homme faible. "

Il regarda la boisson, il repensa au herbes qu'il avait mis dedans, il se souvint un peu de son enfance. Il avait commencé à en prendre jeune, car il avait un tempérament un peu violent, cédant à la colère quand on le provoquait, et encore plus quand on visait le peu de gens qu'il aimait. Quand on avait tenter de lui enlever cette herbe, pour qu'il commence à s'habituer à ne plus en prendre, il était tomber en état de dépendance, ne pouvant gérer ses colères, qui n'était que plus forte qu'avant. Il avait quand même fini par briser la dépendance, mais encore aujourd'hui, il en avait besoin par moment difficile. Il détestait de devoir dépendre de ceci, car il s'affaiblissait par cette dépendance et cela ne faisait que prouver qu'il ne pouvait pas se maîtriser lui-même, alors qu'on lui demandait de conduire et de discipliner d'autre homme et femme.

Invité

hg: désolé pour ce retard mais j'ai plus de connexion internet normalement ca sera fait avant le week end et la j'aurai la possibilités de te répondre tout les jours! pour l'instant j'essaie aujourd'hui de répondre a ce message! désolé encore

Alors qu'Arbagon, lui expliquait le pourquoi du comment quant au fait de s'en prendre à ce chien galeux de chevalier, Tsulan s'était assis en face de son supérieur et d'une oreille attentive il absorbait chaque mot qui sortait de sa bouche. On peut parler de respect. Ce Respect que porte Tsulan pour Arbagon mais ajouté à ce repect se mélange une forme d'admiration pour cet homme. Il n'était pas beacoup plus agé que lui et pourtant il avait déja le rôle le plus important de la chevalerie. Ces derniers temps Tsulan ne vivait que pour ça, Acquérir un jour l'expérience D'Arbagon et d'etre nommé a son grade. Loin de lui de vouloir prendre la place de celui ci, mais parfois Tsulan pensait qu'il méritait peut etre plus d'etre le bras droit d'un autre chevalier, meme s'il effectuait cette tache avec le plus grand des honneurs.

L'ambiance dans l'auberge était revenue a la normal, Les beuveries était fréquentes ici et des chant Athé résonnait dans la pièce. La foi! Tsulan l'avait toujours eue et se rattachait à ce que certains qualifie de légende. Il y a plusieurs dieux a qui ont peux adresser ses prières, a vrai dire d'après les livres, ils existent un dieu pour tout ce qu'on souhaite défendre: Le dieu de la guerre, le dieu de la paix, le dieu de la justice, le dieu du vent, le dieu de la mer, le dieu du soleil, le dieu de l'amour.... et l'on pourrait continuer comme ca pendant des jours entiers. Tsulan Quand a lui n'avait pas de dieu précis, il invoquait les dieux celon la circonstance, mais il croyait fortement que ceux ci avait un role a jouer sur la misérable vie que menent les hommes. Tout avait un sens et tout était dépendant de la volonté des dieux.

Tsulan sortit un instant de ses pensées après avoir dévisagé le concerné, puis reprit son attention sur Arbagon, l'image de cet homme si tracassé par ses pensées, lui fit penser à lui quelque semaine plutot. Toujours calme et serein, Tsulan osa reprendre la parole après ces quelque minutes de silence entre les deux hommes.

-Bien, Ignorons le puisque cela vaut mieux pour nous, mais sachez que je ne le crains pas et qu'aux moindre faux pas, je n'hésiterai pas une seule minutes à lui trancher la tete! peut m'importe les risques que cela encours, peut importe la famille de ce bâtard, rien ne m'empeche de faire ce que j'ai décidé....

Après avoir pronconé ceci avec une rage indéfinie mais toute fois posé sur la sérénitude, Tsulan bu une gorgée de son jus de fruit puis reprit la conversation bien décidé a changer de sujet.

-Alors...comment va Eleanelle? Je vous ai apperçut tout a l'heure...j'espère qu'elle va bien, il faut dire que ces temps ci nous ne nous voyons plus...j'ai cette drole d'impression qu'elle m'évite...sans doute en a t elle assez de me voir veillez a son bien etre et a sa sécurité...

Pourquoi parlez d'Eleanelle, alors qu'elle est le sujet de tention entre les deux hommes? Le fait que la jeune femme puisse passer des moment avec Arbagon, le torturait. Et si ils se rapprochaient? s'il tombaient littéralement amoureux? Qu'adviendrait t il de l'amitié qui lie Tsulan à la jeune villageoise? C'est drôle comme la vie, est compliquée. Deux chevalier qui croisent a longueurs de journée des jolies femmes bien placées, des "fille de..." fortunées, ce genre de fille qui peut faire de vous un héros quelque siècle plutart, ce genre de femme qui peut écrire votre nom dans l'histoire. Mais pourtant c'est d'une paysanne qu'il s'est rapproché, certes une paysanne qui se faisait courtiser par pas mal d'homme mais Tsulan avait l'impression que ce sentiment d'amitié si forte, était jutement trop forte pour n'etre que de l'amitié, sans doute refusait il de le croire...Après tout qu'es que ce sentiment d'amour?...Quand on aime quelqu'un quitte a devoir donner sa propre vie? Quand on est pret a partager le restant de ses jours en compagnie d'une seule et unique femme? De mettre tout en oeuvre pour que cette femme soit la plus heureuse de toute les femmes du royaume? ne voulons t-on pas cela pour une amie d'enfance?

Tsulan attendait la réponse d'arbagon, tout en serrant les dents, il savait que ce qu'il allait dire n'allait certes pas lui plaire, mais il ne pouvait pas lui montrer son sentiment de jalousie, et surtout ne pas avoir de conflit avec l'homme qui l'appréciait le plus a Phallam. Le jeune homme but une nouvelle gorgée de son jus de fruit alors que l'image d'Eleanelle affichant son plus beau sourire apparut devant ses yeux

[HRP: Parfait je comprend.]

Il sourit à la déclaration de Tsulan, il savait bien que même un ouragan ne pourrait venir à bout de cet homme. Il avait un sens de l'honneur et de la justice très fort, mais cela lui faisait parfois perdre certains détails qui méritait un peu d'attention. Le silence qui se forma entre eux, était un peu habituel, ils étaient deux hommes peu bavard. C'est en partit pourquoi la question le surpris. Très loin d'ignorer que cela était la plus forte source de tension entre eux, il savait que ce terrain nécessitait prudence. D'un autre côté, c'était peut-être l'occasion de tirer au claire tout cela. Il décida aussi de ne pas tout raconter pour évitez qu'un conflit naisse entre eux.

" Elle va mieux. La guérisseuse était optimiste face aux petites blessures et dit que si elle ne marche pas trop, sa jambe guérira d'ici un certain temps. Elle m'a demander d'aller voir le prisonnier et cela à été fait, mais la situation à un peu dégénérer et elle n'est pas rester longtemps, les deux chevaliers que j'ai charger à la surveillance avait l'air de bien s'en tirer.

On a appris qu'il est chevalier des ténèbres, mais on ne sait pas ce qu'il fait ici, mais cela tu pourra le lire dans les rapports qui seront remplis. Pour ce qui est du fait de veiller sur elle, je ne pourrais dire, j'ai eu cette impression aussi, peut-être faudrait-il la laisser se débrouiller un peu plus seule. "

Il eu une hésitation à continuer, car il pouvait sentir que la chose serait un peu difficile à aborder, pourtant, c'était une occasion rare. Il bu encore un peu et fini par parler.

" Je sens bien la tension qui règne à ce sujet. Je sais que cela fait nombre d'année de plus que moi que tu l'as connais et sache que je ne cherche par à te l'as retirer. Je ne crois pas aller plus loin qu'une relation amicale, car je n'ai jamais encore pu aimer une femme au point de la faire mienne. "

Et voilà, il avait dit tout cela, et le pensait réellement. Il détourna un peu le regard, car l'ambiance était un peu désagréable pour lui. Il n'avait pas encore pu trouver l'âme soeur et n'avais jamais connus ce qu'on appelait être en amour, il était beaucoup trop solitaire et renfermer. Le fait de donner se vie pour Eleanelle, ne relevait que de ses principes, il donnerait sa vie pour n'importe qu'elle personne qui le méritait.

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La nuit commençait a tomber sur Phallam ainsi que la pluie. Les fines goutes s'abbatèrent sur la vitre salie et jaunie de l'auberge alors que tsulan écoutait son interlocuteur. Les quelque personnes qui restait commencèrent a quitter les lieux, et certaines réflexion se laissaient entendre "Par la barbe de tout les dieux, quand est ce que le soleil reviendra a Phallam", "Couvrez vous cher ami, je ne voudrait point que vous attrapiez quelque chose"...

C'est sur ce bruit de fond que la voix d'Arbagon résonnait. Un Chevalier des ténèbres? Que faisait il ici et que voulait il a Phallam ou a ses habitants? Tsulan veillerai a savoir de quoi il en retourne mais pour l'instant et le plus important, était que Eleanelle se portait mieux. Sa jambe guerrirait très vite il en était sur! Arbagon insista alors sur le fait qu'il ne voyait en Eleanelle qu'une simple amie et qu'il n'irait sans doute pas plus loin. Tsulan fronça les sourcils, jamais il n'avait sous entendu qu'il ressentait plus que de l'amitié pour cette paysanne! Cela se voyait tant que ça? A l'avenir il ferait attention de prendre une certaine distance, il n'aimerait pas que tout phallam soit au courant que le Grand et courageux Tsulan aie un faible pour une paysanne. Il ne dévoilerai peut etre jamais son amour caché pour Eleanelle et c'était sans doute mieux ainsi.

-Je n'ai Guerre l'intention de dictez votre vie ou celle d'Eleanelle! Agissez comme bon vous semble, et peut m'importe ce qui s'ensuivra... Certes Eleanelle est une amie d'enfance et je l'aime beacoup...je ne voudrais pas qu'il lui arrive quelque chose mais de la a vous interdire la moindre chose, je m'en interdit! Soyez sans crainte Arbagon, je ne vous tiendrais rancoeur d'aucun de vos actes...jamais...

Tsulan le pensait réellement, mais ce pincement au coeur a chaque fois qu'il le savait en compagnie d'Elea' n'était pas controlable...simplement naturel,...instinctif.. Le silence s'installa a nouveau, et cette fois le brouhaha de l'auberge avait completement disparu, Tsulan jetta un regard furtif et constata que tout le monde avait déserté, il ne restait plus qu'Arbagon et son bras droit alors que l'aubergiste nettoyait un résideux donc la provenance était douteuse tout en maugréant dans ses dent..'"Maudit Soulard!"

Le jeune homme reprit alors son attention sur son jus de fruit et en bu une gorgée ultime afin de vider celui ci. Ce pesant silence fut rompu alors par Tsulan qui d'une voix presqu'inaudible interpella son interlocuteur.

-J'ai une requête a vous demandez Arbagon...je dois rejoindre le royaume de Yule...et ce dès que je pourrai compter sur un soutien de votre part...

A voir la tete d'Arbagon, celui si semblait interessait d'entendre la suite et surtout le pourquoi de son projet de se rendre a Yule, les chevaliers n'avait pas pour habitude de quitter phallam et cela serait suicide de laisser le royaume sans surveillance. La Route pour Yule était longue et meme s'il partait dés demain il ne serait pas rentré avant la semaine prochaine.

-Une rune Ancestrale, Voila ce que je veux allez chercher la-bas, Un Mercenaire m'a informé que la rune était en possession de cette rune mais il n'ont pas encore trouvé le moyen de l'exploiter, jusqu'à la je les aurait laissé en paix mais sachez Arbagon que moi je sais ce qu'elle contient et surtout je sais comment la mettre a profit de notre royaume... Vocorna! selon les écrit le dieux de la guerre aurait enfermé son esprit a l'intérieur afin de transmettre au hommes en sa possession quelque siècle plus tard, une arme destructrice. Son esprit bien invoqué laissera échapper l'esprit de Vocorna et prendra alors l'apparacence d'une chimère...

Tsulan marqua une pause, et fut bien désolé de ne plus avoir de jus de fruit afin d'humidifiez le palais de celui qui ne parlait que rarement.

-je rentrerez dans les détails plus tard, j'attend de vous votre accord mais je veux surtout que vous m'accompagnez a Yule! Je prendrais soin de recruter tout les combattants digne de confiance, je pense que trois hommes supplémentaires seront suffisant...Faites moi confiance, et je vous garantit que Vocorna au coeur de phallam fera de cette cité une véritable fortersse indestructible, imaginez nous avec l'esprit du dieux de la guerre en allié, Nos ennemis ne tiendront pas très lomgtemps...

Tsulan n'avait jamais autant parlé. Il tenait a cette "mission" et surtout il esperait qu'Arbagon donnerait non seulement son consentement mais qu'il l'accompagnerait. Trois hommes courageux et téméraire, de valeureux guerrier, ne serait pas dur a trouver a Phallam, il s'équiperait et partirait dés qu'il seront tous pret. L'aubergiste s'était approché et plongé dans le récit de Tsulan, il avait la bouche ouverte et les yeux Eballit! Tsulan Sortit alors soudainement et si rapidement que meme Arbagon en fut surprit. Il pointa la lame de son épée en direction de l'homme trapus et gras qui faillit tomber a la renverse.

-Un traitre mot de ce que tu viens d'entendre et je jure sur l'honneur des chevalier que je t'enfonce cette lame en plein coeur...

Au regard de l'homme terrifié Tsulan comprit qu'il ne dirait rien. il rangeat alors son épée et reprit son attention sur Arbagon, esperant que celui ci acquiesse sa requete!

Il savait la sincérité des paroles de son Tsulan, mais était quand même content que tout soit tiré au clair. Il regarda Tsulan durant un moment, voyant sa surprise, mais il était le seul au courant, personne d'autre que lui ne pouvait avoir pu utiliser sa méthode pour le savoir.

" Ne t'inquiète pas, je suis le seul au courant. Quand j'ai sentit ce froid, je n'ai pu m'empêcher d'user de mes talents pour évitez un erreur. J'ai regarder tes pensées, non pas par méchanceté, ni pour du chantage, seulement pour ne pas faire de faux pas, mes intentions n'était que bonne. Puisse-tu un jour me pardonner. "

Il avait bien sûre peur de la réaction de Tsulan, peu pourrait prendre ceci avec joie et bonheur, car il avait violé son intimité, mais il l'avait vraiment fait avec de bonne intention. Il ne l'avait fait seulement qu'une fois aussi et il n'avait pu que capter ses pensées du moment, il ne pouvait pas aller chercher dans le cerveau d'une personne. Mais il semblait bien le prendre et continua sur un autre objet.

Il lui parla d'une mission, qui attendait son approbation, ce qui l'intéressait vraiment, car Tsulan ne perdrait pas de temps vainement. De plus, comme son autorisation était nécessaire, il avait besoin d'en savoir le plus possible, pour faire le bon choix. Quand celui-ci lui parla de la rune et de son origine, il se souvint de cette histoire. Puis le jeune homme enchaîna et finit ce qu'il avait à dire. Arbagon pensa un moment analysant tout ce qu'il savait dans sa tête. Quand il vit Tsulan sortir son épée, il se souvint de l'aubergiste. Il trouvait la méthode un peu trop radical, mais il ne désirait pas s'opposer sur ce sujet maintenant.

" Merci de garder silence, cela nous rendras un grand service. Quant à tout cela Tsulan, j'accepte, mais avant j'ai plusieurs choses à te dire. Je ne dénigre pas les dieux, je les respectes et je reconnais leur puissance, mais si jamais tu invoquais Vocorna, il demanderais quelque chose en retour, car les dieux n'interagisse pas gratuitement dans se monde.

Ensuite, les autres villages voudront aussi la rune et sa protection, ce qui pourrait dégénérer et être mauvais pour Phallam, ainsi que les autres. La cupidité est dans la nature même de l'homme et je ne pense pas que nous pourrions obliger un dieu, encore moins celui de la guerre, à se soumettre à protéger Phallam. Il nous aidera comme lui l'entendra. Et pour finir, n'oublie jamais que les divinités sont en générales capricieuses, garde cela en mémoire.

Tu peux apporter les trois autres personnes, je laisserai quelqu'un pour me remplacer et un message à la reine, peut-être cela pourra-t-il faire tourner la guerre à notre avantage. "

Bien qu'il ne croyait pas que les dieux forgeait le monde et la vie de chacun, il avait étudié tout cela, comme chaque chevalier. Il pensait que l'homme était libre de faire sa vie et que les dieux influençaient parfois la chance ou tentait d'aider un mortel, mais il savait que si jamais l'un d'eux agissait directement dans leur monde, il aurait un prix spécifique. Il ne restait plus qu'à savoir le prix et s'assurer que l’ennemi ne mette pas la main dessus avant eux.

Nath apparut dans l'auberge. Il fit sursauter un soldat qui ne s'attendait vraiment pas à voir quelqu'un apparaître tout d'un coup comme ça à côté de lui. Le serviteur regarda un moment autour de lui avant de finalement voir Arbagon. Il s'approcha de lui d'un pas rapide. Nathaniel préférait ne pas crier dans toute l'auberge qu'un prisonnier c'était échappé. Il se rapproche du chef des chevaliers puis s'inclian légèrement, il lui dit à voix basse:

- Deux de vos hommes m'ont dit qu'un prisonnier c'est échappé. J'ai voulu les aider mais ils m'ont dit qu'il était préférable de venri vous prévenir.

Nathan ne releva pas la tête, continuant à fixer ses pieds en signe de respect même si il connaissait un peu Arbagon, celui-ci restait supérieur à un simple jardinier, il lui devait donc le respect.

Comme il venait de finir avec Tsulan, la silhouette familière de Nathaniel apparue dans la porte. Il se demandait bien pourquoi il était sortit du château, se disant que cela était pour une course ou quelque chose qu'on lui avait demandée. Il fut donc surpris de le voir venir vers lui et s'incliner légèrement, lui montrant ainsi un certain respect, bien qu'il n'aimait pas ce genre de chose. Quand il eut fini de parler, une fureur prit possession de lui, le prisonnier, évader, c'était impossible.

Il dit un bref merci à l'égard du jeune servant et se remit sur ses pieds. Il n'eut même pas un regard à l'arrière vers Tsulan ou Nathaniel, sortant d'un pas rapide pour se diriger vers la prison. Il pouvait prendre l'apparence qu'il voulait, ce pouvait être n'importe qui, comment avait-il fait? Il tenta de se calmer un peu pressant le pas.

Un brin de curiosité s'empara de Nathan. Après quelques secondes d'hésitation, il suivit Arbagon. Ayant pris du retard, il perdit sa trace et s'arrêta pour réfléchir, celui-ci ne pouvait être aller qu'à un seul endroit si on se fiait à la logique. Le jardinnier se mit donc à réfléchir pour retrouver une image de la prison, il y était aller juste avant mais c'était encore floue. Quand il cru que sa vision était assez claire, il ferma les yeux et disparue.
Sa première tentative échoua puisqu'il se retrouva dans les cuisines du château mais il se rendit rapidement compte de son erreur et disparu aussitôt, ne voulant pas se faire remarquer et confier une quelconque tâche avant d'en avoir appris un peu plus sur ce qui se passait.